"La révoltante pierreuse" offre un témoignage cru sur la prostitution clandestine au début du XXe siècle, décrivant la hiérarchie prostitutionnelle et l’histoire de la prostitution féminine. Elle détaille le quotidien des "pierreuses" – femmes de terrain âgées, maltraitées par la pauvreté et la stigmatisation sociale – et leur géographie : carrières, chantiers et quais. À travers l’analyse de Léon Bloy et d’Alexandre Parent-Duchâtelet, le texte explore l’évolution sociale, la survie face aux maladies vénériennes et la marginalisation de cette caste défavorisée.