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James Whistler, Le Pont de Battersea, 1872-3
Pierre Bonnard Promenade des nourrices Frises des fiacres 1897
Ex-libris de Lautrec  pour Maurice Guibert c.1894
Alfred Stevens  La Parisienne 1872
Vincent van Gogh, Vue d´Arles avec vergers en fleur, 1890
James Whistler, Caprice en pourpre et or, Le paravent doré, 1864
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Service Lambert Rousseau
Daum, La carpe
Marcus and Co, Broche Iris, 1900

Le Japonisme

Du plagiat à l'inspiration
1854-1910

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René Lalique, Boucle, 1897
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L'absence de modelé chez Paul Gauguin, le cadrage décalé d'Edgar Degas, le trait de crayon de Vincent van Gogh sont-ils l'expression du seul génie moderne ? Ou résulteraient-ils d'un pillage à grande échelle des arts japonais ?

 

En 1854, les canons américains contraignent le Japon à l'ouverture, laquelle amena à la chute du régime des Shoguns en 1868. Une page de l'histoire nippone est tournée, le Japon se défait de ses objets médiévaux au grand bonheur des Occidentaux, friands de ces japoneries.

La première partie de la conférence met en image la parenté entre les arts décoratifs européens fin de siècle et les arts japonais. La seconde partie se consacre à l'analyse du Japonisme de Vincent van Gogh, d'Edgar Degas et de Henri de Toulouse-Lautrec. 

Cette conférence identifie de manière systématique les emprunts de l'avant-garde européenne aux Japonais, revenant de fait sur le mythe de l'originalité que les genèses modernistes avaient construites.

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